A model for the prediction of energy balance and body weight

Abstract
A model for changes in energy balance and body weight is described which can be written as an iterative computer program. Medium and long-term changes in body weight resulting from random daily fluctuations in energy balance are quantitatively predicted. Body weight varies periodically about a mean value to to the extent of ± 1 kg over a span of a few weeks. Long-term weight stabilization is the result of a dynamic equilibrium between energy intake and output which depends on activity and tissue metabolism. A lean : fat tissue deposition ratio defines the metabolic type of individual. This ratio, which is constant for each individual, governs the proportions in which these tissues are both deposited and mobilized. In the model, the ratio has an important effect on the magnitude and composition of the weight gains resulting from over-eating. It is suggested that the differences in response which have been observed in over-eating experiments result from inter-individual differences in this ratio. Un modèle pour l'étude des changements du bilan énergétique et du poids corporel qui peut être écrit comme programme itératif pour ordinateur est décrit. Les changements à moyen et long terme du poids suite à des fluctuations aléatoires journalières du bilan énergétique sont prédits quantitativement. Le poids varie périodiquement autour d'une valeur moyenne avec une amplitude de ± 1 kg sur un laps de temps de quelques semaines. La stabilisation à long terme du poids résulte d'un équilibre dynamique entre la consommation et la dépense d'énergie qui dépend de l'activité et du métabolisme tissulaire. Un quotient de dépôt de tissu maigre/tissu gras définit le type métabolique de l'individu, gouverne la proportion dans laquelle ces tissus sont déposés et, aussi, mobilisés. Dans le modèle, le quotient a un effet important sur l'amplitude et la composition des gains de poids consécutifs à une suralimentation. Il est suggéré que les différences des réponses observées dans les expériences de suralimentation résultent de différences interindividuelles de ce quotient.