Abstract
Les niveaux O+ de 16O sont étudiés dans le cadre d'un modèle en couches, avec une interaction nucléaire de portée nulle. Tous les états (y compris le fondamental) sont décrits comme mélange de la configuration à couches complètes et des configurations d'énergies non perturbées 2hω. Les états « spurious » sont éliminés et la matrice énergie est alors diagonalisée. Il apparaît que l'interférence entre l'état fondamental et le premier état excité permet de décrire correctement l'élément de matrice monopolaire et le rapport des probabilités de transition du premier état 1- T = 1 à chacun d'eux. Pour les énergies d'excitations, l'accord n'est pas très bon

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