Abstract
Grâce à des exemples tirés, d'une part de l'étude des corrélations entre cotylédon et bourgeon axillaire et, d'autre part, de la ramification des végétaux ligneux, la notion de facteurs de préséances entre bourgeons est définie. Elle ne doit pas être confondue avec celle de dominance apicale ou de corrélations entre bourgeons. L'installation d'une préséance précède toujours l'inhibition corrélative qu'elle conditionne. Par leur grande diversité, les facteurs de préséances mettent en jeu dos mécanismes très variés, parfois originaux, dont l'étude est à peine commencée.