Abstract
La relation de Pauling entre les électronégativités et les chaleurs de formation est comparée avec les données expérimentales. On observe des écarts, notamment pour les fluorures et les oxydes, qui croissent systématiquement avec la différence entre les électronégativités des composants d'une molécule. L'influence des chaleurs de sublimation et de la valence est discutée. On calcule les électronégativités pour tout le système périodique et l'on interprète à l'aide de celles-ci la périodicité des chaleurs de formation de certains groupes de composés inorganiques

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