Abstract
L'étude thermomagnétique du protoxyde de nickel NiO met nettement en évidence l'antiferromagnétisme de ce composé. La susceptibilité magnétique de NiO passe par un maximum étalé dont la température est voisine de 647° K et paraît indépendante du champ utilisé. L'étude thermomagnétique du protoxyde de cobalt CoO fait apparaître un maximum très aigu de la susceptibilité magnétique à la température de 292° K. Pour des températures supérieures à 475° K, le protoxyde de cobalt est paramagnétique et suit une loi de Curie-Weiss