Abstract
On montre que les courbes de dispersion relatives aux ondes de surface pouvant se propager dans une couche mince métallique réelle ne sont pas rigoureusement confondues avec les courbes obtenues en relevant les minima du pouvoir réflecteur dans la méthode ATR. Il existe également un écart relativement important entre courbes théoriques et courbes expérimentales, pour des fréquences supérieures à la fréquence limite des plasmons de surface