Abstract
Pour atteindre les facteurs biologiques dont dépend la fécondité, il faut étudier, autant que possible, la fécondité de populations ou de couples qui ne recourent ni à la contraception ni à l’avortement. Une telle fécondité est appelée fécondité naturelle; ce terme est préférable k celui de fécondité physiologique, car la fécondité naturelle ne dépend pas que de facteurs physiologiques; d’autres facteurs interviennent, par exemple, ceux qui agissent sur la fréquence des rapports sexuels, ceux qui imposent l’interruption de ces rapports pendant certaines périodes de l’année ou pendant l’allaitement, ceux qui règlent la longueur de l’allaitement au sein matemel.