Abstract
Une revue de littérature permet de constater que les boues de station d'épuration des eaux pourraient avantageusement être employées comme fertilisant forestier. En effet, leur utilisation augmente les quantités de matière ligneuse produite, au même titre que le font les engrais chimiques. En plus, les effets adverses ne sont pas importants. En seconde partie, des semis de mélèze laricin (Larix laricina) en serres ont crÛ sur du sable. Ils ont été fertilisés avec différentes doses et fréquences de boue digérée anaérobie. Cet essai est concluant et est en accord avec la théorie, soit une augmentation des rendements avec la fertilisation par les boues résiduaires.