Sur la déformation des molécules en phase condensée et la « liaison hydrogène »

Abstract
On démontre que les perturbations électrostatiques des molécules par leurs voisines permettent d'expliquer qualitativement et même quantitativement toutes les particularités de la bande OH dans les différents états de la matière. L'hypothèse d'une liaison H homéoplaire apparaît comme inutile