Abstract
La théorie moléculaire de la biréfringence acoustique des liquides purs remplace les molécules par des ellipsoïdes rigides, de révolution, qui tendent à s'orienter sous l'influence du champ ultrasonore de manière que leur grand axe coïncide avec l'axe de la dilatation maxima. L'orientation s'établit suivant un équilibre entre ce mouvement régulier des molécules et le mouvement brownien. La biréfringence qui en résulte est proportionnelle à la racine carrée de l'intepsité du champ sonore et à la fréquence jusqu'à ce que les phénomènes de relaxation deviennent sensibles. La fréquence de relaxation ω = 2 πν est égale à 6D où D signifie la constante de diffusion rotationnelle. Pour les fréquences extrêmes la biréfringence atteint une valeur limite. Cette théorie explique, d'une manière satisfaisante, les expériences

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