Abstract
On rappelle d'abord les caractéristiques expérimentales de la reptation, puis on montre que, quel que soit l'état magnétique initial, la reptation après n cycles suit une loi en (log n)1/2. Pour toutes les températures entre 290 °K et 20 °K, la reptation est d'abord négligeable quand h, l'amplitude de dissymétrie, est inférieure à la moitié du champ coercitif Hc, passe par un maximum pour h ~ H c et devient très faible lorsque h > 2 à 3 Hc. Ces résultats sont en accord avec la théorie proposée par L. Néel. Les anomalies observées pour les faibles valeurs de n s'interprètent par le phénomène de bascule et semblent confirmer l'étude théorique de ce deuxième phénomène

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