Sur les approximations utilisées dans les calculs des susceptibilités diamagnétiques moléculaires

Abstract
La fonction propre électronique correspondant à l'état fondamental d'une molécule étant supposée connue sous la forme d'un produit d'orbitales non antisymétrisé, la détermination du tenseur des susceptibilités diamagnétiques dépend d'un système d'équations indépendantes aux dérivées partielles dont la résolution rigoureuse ne peut être envisagée en pratique. Moyennant certaines hypothèses restrictives sur la forme analytique des orbitales perturbées par l'application du champ magnétique, le présent article montre qu'il est possible de remplacer les équations de départ par des équations différentielles linéaires du 2e ordre. Ces dernières équations constituent en fait une généralisation des méthodes plus simples précédemment utilisées et la discussion du problème permet d'indiquer les cas où il sera effectivement préférable de résoudre numériquement les nouvelles équations proposées

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