Abstract
On montre que la relation de Freier relative aux « longueurs d'amincissement » des traces des fragments « lourds » rend difficilement compte des résultats expérimentaux. On propose une théorie faisant intervenir uniquement la densité des rayons δ le long de la trajectoire qui rend compte quantitativement des phénomènes observés. L'examen des traces de fission permet de préciser le rôle de la perte d'énergie spécifique. Elle apporte une confirmation à l'hypothèse de P. Cüer (1947) au sujet du « développement induit »

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