Abstract
A model developed by Stern to estimate the number of loci determining human skin colour in African-European hybrid populations is tested on recently collected reflectance data. Despite improved measurement scales and admixture estimates, and the use of statistical goodness-of-fit tests, contradictory results are obtained. It is shown that previous authors' use of visual inspection to compare expected and observed phenotype distributions introduced considerable bias into their results. Ein von Stern entwickeltes Modell zur Schätzung der Anzahl der die menschliche Hautfarbe bestimmenden Genorte bei afrikanisch-europäischen Hybridbevölkerungen wird an kürzlich gesammelten Reflexdaten getestet. Trotz verbesserter Meßskalen und Mischungsschätzungen und trotz der Verwendung von statistischen Anpassungstests wurden widersprüchliche Ergebnisse erzielt. Es wird gezeigt, daß die visuelle Inspektion früherer Autoren zum Vergleich von erwarteter mit beobachteter Phänotyp-Verteilung eine beträchtliche Verzerrung in die Ergebnisse einbringt. Un modèle développé par Stern pour estimer le nombre de locus qui déterminent la couleur de la peau humaine dans des populations métisses Africaines-Européennes est testé sur des données de réflectance récemment recueillies. Malgré des échelles de mesure et des estimations de métissages améliorées et l'emploi de tests statistiques d'ajustement, des résultats contradictoires sont obtenus. Il est montré que l'emploi par les auteurs antérieurs de l'inspection visuelle pour comparer les distributions de phénotypes attendues et observées a introduit un biais considérable dans leurs résultats.