Abstract
L'auteur indique une méthode pratique de résolution applicable aux problèmes comportant une grosse perturbation; cette méthode conduit à des développements rapidement convergents; elle permet de résoudre complètement le problème des électrons libres dans les métaux, tel qu'il avait été posé dans deux précédents articles Journ. Phys. t. 3 (1932), 373 et 565. La formule approchée, qui avait été utilisée à la fin du second article, se trouve légèrement modifiée; toutes les conclusions restent inchangées malgré cette légère correction