Abstract
La polarisation de la lumière émise par résonance optique d'atomes placés dans un champ nul, ne peut s'interpréter qu'en imaginant une certaine cohérence entre les vibrations, qui, en présence d'un champ, constitueraient les diverses raies de décomposition d'une raie de structure hyperfine. En précisant que cette cohérence ne peut se produire qu'entre des vibrations dites de même départ et arrivée et en fixant ses relations avec la cohérence des composantes de la vibration excitatrice, on retrouve qualitativement et quantitativement tous les résultats qu'imposent les conditions de symétrie. Une théorie a été faite également de ce qui se passe dans un champ faible