Abstract
Les auteurs montrent que l'énergie lumineuse libérée à l'illumination fugace de certains sulfures de zinc préalablement irradiés aux rayons X, puis soumis à l'action d'un champ électrique alternatif, passe par un maximum pour une certaine dose de rayons X. Ils étudient les diverses circonstances qui modifient la position de ce maximum et à la lumière de leurs résultats ils indiquent une nouvelle méthode d'étude des matériaux « l'électrophotoradiographie » (image radiographique par illumination fugace)