Abstract
L'auteur évoque brièvement les trois lignes de recherches qui attribuent la cause de L'illusion de Müller‐Lyer, respectivement à un facteur de différenciation perceptive, à un facteur écologique (milieu “charpenté” ou non), à un facteur de pigmentation rétinienne. Il examine quelle est la part de chacun de ces facteurs dans les résultats de 10 échantillons de sujets, qui varient selon la culture et L'écologie. C'est L'hypothèse de pigmentation rétinienne qui semble la mieux confirmée, la moins confirmée était L'hypothèse écologique et le rôle de la différenciation perceptive ne recevant aucune confirmation de culture en culture.