Nous donnons, entre 5 et 8 μ, les spectres d'absorption d'une cinquantaine de dérivés mono ou disubstitués du benzène qui, pour la plupart, n'avaient pas encore été mesurés dans notre région. En classant ces substances par ordre de poids moléculaire croissant, on voit apparaître, en passant de l'une à l'autre, des suites de bandes, que nous avons essayé d'identifier avec des modes de vibration déterminés. On obtient, ainsi, un ordre de grandeur pour les fréquences de plusieurs vibrations du benzène, inactives à la fois dans l'absorption et dans la diffusion, pour lesquelles les interdictions se trouvent levées lorsqu'on les passe à des dérivés mono ou disubstitués