Seasonal migration by white‐eared kob in relation to resources

Abstract
Summary: Previous studies suggest that ungulate migrations in savanna ecosystems follow seasonal changes in the distribution of food, water or both. These hypotheses were examined for a migratory population of over 800,000 white‐eared kob in Boma National Park, S.E. Sudan. Movements into the dry season range in the northern part of the ecosystem were correlated with seasonally scarce supplies of both food and water. In the dry season range, kob concentrated at densities often exceeding 1000 km‐2 in low‐lying meadows adjacent to permanent water supplies that produced grass regrowth throughout the dry season, when other areas were unproductive. Grass growth during the dry season was dependent on residual soil moisture. Movements into the wet season range, however, were unrelated to the availability of either food or water. The low rainfall grasslands in the south may be preferred during the wet season because they are less prone to surface flooding than other areas, or because the short grasses in the south are more nutritious than the taller forms that predominate elsewhere.RÉSUMEÉ: Des études antérieures suggérent que les migrations d'ongulés dans les écosystèmes de savane suivent les changements saisonniers de la disponibilité en nourriture ou en eau ou les deux. Ces hypothèses ont été examinées dans le cas d'une population migratrice de 800.000 cobes à oreilles blanches au P. N. Boma, au sud‐est du Soudan. Les mouvements à l'intérieur de l'habitat de saison sèche dans la partie nord de l'écosystème ont été mis en corrélation avec le manque de disponibilités saisonnier de nourriture et d'eau. Dans l'habitat fréquenté en saison sèche, les cobes étaient concentrés à des densités dépassant souvent 1000/km2, dans les prairies basses avoisinant un point d'eau permanent qui permettait que l'herbe repousse tout au long de la saison sèche alors que les autres endroits restaient improductifs, la croissance de l'herbe durant la saison sèche dépendant de l'humidité résiduelle dans le sol. Les mouvements à l'intérieur de l'habitat de saison des pluies, d'autre part, ne sont pas reliés a la disponibilité en nourriture ni en eau. Dans le sud, les prairies où la pluviosité est faible peuvent ětre préférées durant la saison des pluies parce qu'elles risquent moins d'ětre inondées que les autres ou parce que les herbes courtes dans le sud sont plus nutritives que les espéces plus hautes qui prédominent ailleurs.