Abstract
Les largeurs anormales des réflexions magnétiques (101) et (102) de l'antiferromagnétique K2NiF 4 conduisent à admettre l'existence de fautes d'empilement dans la succession des feuillets antiferromagnétiques. La détermination des probabilités de telles fautes à 4,2 °K, 90 °K et 115 °K indique que cet effet s'accentue avec la température. L'existence d'une probabilité non nulle à basse température suggère que la fragmentation du réseau régulier en petits domaines magnétiquement parfaits a pour effet d'abaisser l'énergie de magnétostriction

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