Abstract
Summary: The present study classified epilepsies in Nigerians and compared them with the profile of epilepsies as found in other countries: India, France, and Denmark. Partial epilepsy formed the largest group (76.6%) in this study and in that in India (80%), but these incidences were higher than that found in France (62%). owing to a higher frequency of birth injury, CNS infections, and childhood febrile convulsions in developing countries. In contrast to our study and that in France, where partial epilepsy with complex symptomatology formed the largest subgroup, partial epilepsy with elementary symptomatology formed the largest subgroup in India. The reason for this is not totally clear, though etiological factors and criteria for categorization are contributory. The incidence of partial epilepsy was lower in children than in adults owing to a relatively lower incidence of partial epilepsy with elementary symptomatology in children in the present series and a lower incidence of complex symptomatology in children in France and Denmark. Nigerian children seem more vulnerable to complex symptomatology owing to a high incidence of febrile illness (e.g., from malaria) and febrile convulsions. The incidence of generalized epilepsies in children was higher than in adults. Grand ma1 formed the largest subgroup of generalized epilepsies in children in this series and in Denmark, whereas petit ma1 formed the largest subgroup in France and India. Petit ma1 was relatively rare in children in our series (2.5%) compared with children in the French study (17.5%). Secondary generalized epilepsy was peculiar to children in all the series. Infantile spasm was relatively rare in children in India (0.3%) compared with this series (2.7%), France (2.8%), and Denmark (4.6%). Many of these observed differences cannot be totally explained. This indicates that although the international classification is useful and relevant, there is need to revise it to define more clearly criteria for categorization of the different types of epilepsy. RÉSUMÉ Cette étude présente une classificatin des épilepsies chez les nigériens et la compare à celles faites dans d'autres pay: Inde (Joshi et al.), France (Gastaut et al.) et Danemark (Alving). L'épilepsie partielle forme le groupe le plus important (76,6%) au Nigéria et en inde (80%), ces incidences étant plus élevées que celle trouvée en France (62%), en raison d'une plus grande fréquence des traumas à la naissance, des infections du SNC et des convulsions fébriles de l'enfance dans les pays en développement. L'épilepsie partilelle avec crises à sémiologie complexe forme le sous-groupe le plus important au Nigéria et en France. par opposition à l'étude indienne où c'est le sous-groupe d'épilepsie partielle avec crises à sémiologie élémentaire. La raison n'en est pas claire bien que les facteurs étiologiques et les critères de classification puissent expliquer en partie cette différence. L'incidence de l'épilepsie partielle est plus faible chez les enfants que chez les adultes, en raison de l'incidence plus faible d'épilepsie partielle avec crises à sémiologie élémentaire chez les enfants dans l'étude nigérienne, et d'épilepsie partielle avec crises à sémiologie complexe chez les enfants en France et au Danemark, Les enfants nigériens semblent avoir plus de crises à sémiologie complexe parce qu'ils ont plus de maladies fébriles (le paludisme par exemple) et de convulsions fébriles. L'incidence des épilepsies généralisées est plus élevée chez les enfants que chez les adultes. Le Grand Mal constitue le sous-groupe le plus important chez les enfants nigériens et danois, alors que c'est le Petit Mal chez les français et les indiens. Celui-ci est relativement rare chez les enfants nigériens (2,5%) par rapport à sa fréquence chez les enfants français (17,5%). L'épilepsie généralisée secondaire est propre aux enfants dans toutes les séries. Les spasmes infantiles sont relativement rares en Inde (0,3%) par rapport au Nigéria (2,7%) à la France (2,8%) et au Danemark (4,6%). Beaucoup de ces différences ne peuvent pas être complètement expliquées. Ceci veut dire que si la classification internationale est utile et applicable il faut la réviser pour mieux définir les critères de classification des différents types d'épilepsie. RESUMEN El presente estudio clasifica las epilepsías en los Nigeriansos y compararlos con el perfil de epilepsías encontrado en otros países: India (Joshi y col.), Francia (Gastaut y col.) y Dinamarca (Alving). La epilepsí parcial constituye el grupo mas amplio (76.6%) en este estudio y en la india (80%) pero estas incidencias fueron mas altas que las encontradas en Francia (62%) debido a la elevada frecuencia de lesiones perinatales, infecciones del SNC y convulsiones febriles infantiles en los países desarrollados. En contraste connuestro estudio y el de Francia donde la epilepsí parcial con sintomatología compleja formaban el mayor subgrupo, la epilepsía parcial con sintomatología simple formaban el mayor subgrupo en la India. La razón de esto no es totalmente clara aunque factores y criterios etiológicos para una categorización son contribuyentes. La incidencia de epilepsía parcial fué más baja en nin̄os-que en adultos debido a una incidencia relativaente más baja de epilepsía parcial consintomatología...