Clomipramine-Induced Urinary Dysfunction in an Obsessive-Compulsive Adolescent

Abstract
Two episodes of urinary retention occurred in a 15-year-old male following administration of clomipramine given for obsessive-compulsive disorder. Improvement of behavioral symptoms along with side effects was clearly correlated with clomipramine dosage. Severity of side effects, and their resistance to bethanechol and to phenoxybenzamine, necessitated a complete withdrawal of clomipramine. This case demonstrates that clomipramine-induced urinary retention is not limited to older individuals. Possible involvement of noncholinergic and nonadrenergic mechanisms in this adverse drug reaction is suggested. Extracto Se reportan dos episodios de retención urinaria en un paciente varón de 15 años de edad luego de la administración de clomipramina (CMI) para el tratamiento de un desorden obsesivo-compulsivo. Tanto la mejoría en los s***intomas del comportamiento como los efectos adversos correlacionaron con la dosis de CMI. La severidad de la retención urinaria y su resistencia al tratamiento con betanecol y fenoxibenzamina requirieron que se descontinuara el medicamento. Los autores concluyen que este caso demuestra que la retención urinaria inducida por CMI no está limitada a pacientes envejecientes sino que se puede observar también en adolescentes. Sugieren, además, mecanismos no-colinérgicos y no-adrenérgicos como posibles causas de este efecto adverso. Resume Deux épisodes de rétention urinaire furent observés chez un jeune homme de 15 ans après l'administration de clomipramine (CMI). La CMI était utilisée pour traiter un désordre obsessif-compulsif (DOC). Une corrélation fut établie entre les dosages de CMI, l'amélioration des symptômes du comportement et les effets secondaires. La sévérité de ces effets secondaires et l'absence de réponse au béthanechol et à la phenoxybenzamine auront nécessité l'arrêt de la thérapie à la CMI. Ce cas démontre que l'induction d'une rétention urinaire avec la CMI n'est pas limitée aux personnes âgées, mais qu'elle peut aussi survenir chez les adolescents. Des mécanismes non-cholinergiques et non-adrénergiques seraient suggérés pour expliquer cet effet secondaire.