Abstract
Quand on fait passer un courant constant à travers un filament semi-conducteur, ou un cristal détecteur, comportant un contact métal-semi-conducteur, on observe à leurs bornes des fluctuations électriques dont l'intensité est de plusieurs puissances de I0 supérieure à celle que donne rait l'effet thermique ou l'effet de grenaille. Après avoir rappelé brièvement les résultats expérimentaux essentiels relatifs à ce « bruit supplémentaire », l'auteur propose une théorie du phénomène basée sur la fluctuation du nombre des électrons de conduction dans le cas du filament, et du nombre des « centres donneurs » de la barrière de potentiel dans le cas du contact métal-semi-conducteur

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