Résumé: Le processus de recuit thermique du trioxalatoferrate de potassium irradie aux neutrons correspond à une cinétique des isothermes avec pseudo-paliers différents. Les courbes de recuit, tracées respectivement pour le produit cristallisé avec de l’eau légère, avec de l’eau lourde et sans eau de cristallisation, montrent que le processus est distribue dans un spectre d’énergies d’activation. En représentant ces spectres, on a trouve pour les énergies d’activation les valeurs caractéristiques suivantes: 0,50-0,57 eV pour le réseau avec de l’eau légère, 0,63-0,67 eV pour le réseau avec de l’eau lourde et 0,52 eV pour le réseau sans de l’eau de cristallisation. Le rapport Fe3+/Fe2+ dans le recul est notablement influence par la présence de l’eau dans le réseau cristallin. Dans les réseaux cristallises avec de l’eau, ce rapport est situe dans l’intervalle 1,18-1,35 et en absence d’eau ce même rapport a une valeur voisine de 0,6. L’oxydation totale du Fe2+ pour des températures inférieures à celles où commence la guérison, montre que seul le Fe3+ participe au mécanisme des réactions.