Abstract
Le formalisme des opérateurs tensoriels irréductibles est appliqué à l'étude de l'effet Hanle des molécules. On calcule, en particulier, par cette méthode les taux de polarisation en champ magnétique nul des différentes raies de fluorescence que l'on est susceptible d'observer. Par ailleurs, on montre qu'il est facile de tenir compte, dans ce formalisme, de l'influence des structures hyperfines moléculaires. Quelques remarques, enfin, sont faites sur la théorie semi-classique de l'effet Hanle des molécules, théorie dans laquelle la rotation des molécules est traitée classiquement

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