Supplementary cleaning does not remove protein deposits from re-usable laryngeal mask devices

Abstract
To test the hypothesis that supplementary cleaning facilitates removal of protein deposits from the laryngeal mask airway (LMA). Twenty previously used Classic™ and Flexible™ LMAs were hand washed, machine washed, dried, autoclaved and then randomly allocated into four groups for supplementary cleaning. In Group A, the dorsal surface was immersed in water and the surface scrubbed with a high-speed rotating brush. In Group B, the dorsal surface was immersed in a plaque removing solution. In Group C, the dorsal surface was immersed in a protein removing solution. In Group D (controls), the dorsal surface was immersed in water. Before and after supplementary cleaning the LMAs were immersed in a protein staining solution, rinsed and a high-resolution digital image taken of the dorsal surface. The location and severity of staining were scored by two observers blinded to group assignment. Staining was similar before and after supplementary cleaning for all groups. Mild, moderate and severe staining occurred in 31%, 7% and 2% of zones respectively; 60% were unstained. Staining was less common on the cuffthan on the backplate and distal tube (both:P < 0.00001). Staining was less common on the backplate than on the distal tube (P = 0.001). Staining was always present on the mid-portion of the backplate or distal tube. Supplementary cleaning using a rotating brush, plaque or protein removing solution does not facilitate removal of protein deposits from re-usable LMAs; however, the infectious risk associated with the protein deposits remains to be determined. Tester l’hypothèse selon laquelle un nettoyage supplémentaire facilite le retrait des dépôts de protéines sur les masques laryngés (ML). Vingt ML Classic™ et Flexible™ ayant déjà servi ont été lavés à la main et à la machine, séchés, passés à l’autoclave et divisés ensuite au hasard en quatre groupes pour un nettoyage supplémentaire. Dans le Groupe A, la surface dorsale a été immergée dans l’eau et frottée avec une brosse rotative à haute vitesse. Dans le Groupe B, la surface dorsale a été immergée dans une solution pour l’élimination de la plaque. Dans le Groupe C, la surface dorsale a été immergée dans une solution pour l’élimination des protéines. Dans le Groupe D (témoins), la surface dorsale a été immergée dans l’eau. Avant et après le nettoyage supplémentaire, les ML ont été immergés dans une solution pour colorer les protéines, puis rincés et une image digitale à haute résolution de la surface dorsale a été prise. La localisation et la sévérité des taches ont été cotées par deux observateurs impartiaux. Les taches étaient similaires avant et après le nettoyage supplémentaire dans tous les groupes. Des taches légères, moyennes et importantes ont été noté dans 31 %, 7 % et 2 % des zones respectivement; 60 % ne portaient pas de taches. Les taches étaient plus rares sur le ballonnet que sur la partie dorsale et le tube distal (pour les deux: P < 0,00001). Les taches étaient moins fréquentes sur la partie dorsale que sur le tube distal (P = 0,001). Des taches étaient toujours présentes sur la portion médiane de la partie dorsale ou du tube distal. Le nettoyage supplémentaire avec une brosse rotative, une solution pour l’élimination de la plaque ou des protéines ne facilite pas le retrait des dépôts de protéines sur les ML réutilisables; cependant, le risque d’infection n’a pas été déterminé.

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