Abstract
On étudie deux procédés pour l'interprétation quantitative de l'analyse thermique différentielle : a. on démontre que la surface du pic est proportionnelle à la masse de minéral réactif contenue dans le creuset. On donne une formule absolue faisant intervenir une certaine température mesurable. Sous une autre forme, on met en évidence le rôle de la conductibilité de l'échantillon. On propose un montage pour éliminer ce rôle; b. on étudie, par des considérations dimensionnelles, l'étalonnage nécessaire pour utiliser la hauteur du pic. Dans ce cas, il y a deux influences nouvelles : l'étalement de la transformation mise en jeu, les perturbations dues à la présence du couple. Le choix d'une méthode dépendra du cas concret