Abstract
Le réseau électronique orbital, constitué par des électrons à l'état p avec une intensité F de contact électronique de l'ordre de 300°, ne peut rendre compte de la cohésion des corps solides que jusqu'à 1 500°C environ (Fe, Co, Ni, Pd), puisque 36 contacts, obtenus par 6 électrons p à 6 contacts, est le maximum. Des considérations sur les réseaux électroniques des supraconducteurs suggèrent l'hypothèse que l'intensité d'interaction est proportionnelle au nombre quantique de rotation l = 0, 1, 2 des électrons s, p, d. En admettant que les points de fusion des éléments de transition, caractérisés par le sous-étage d incomplet, doivent être calculés avec un facteur Fd de l'ordre de grandeur de 2 Fp, on trouve des nombres N de contacts aisément réalisables avec les réseaux cristallins de ces éléments. On en déduit la valence réticulairend. Cette théorie est confirmée par le fait que dans la plupart des éléments de transition nd ainsi déterminé est égal à ε, le nombre des électrons solitaires, c'est-à-dire de spin non compensé. Suivent quelques remarques sur le saut de quanta dans les deux états allotropiques de Ti et Zr