Abstract
On étudie entre +300 et —1930 la variation du champ coercitif d'agglomérés de ferro-nickel à plus de 50 pour 100 de nickel en fonction de la proportion de vides. Tant qu'ils n'ont pas été chauffés le champ coercitif de presque tous les agglomérés obéit aux lois établies par Néel dans le cas où l'anisotropie de forme commande la rotation de l'aimantation. On rend compte des écarts observés pour les agglomérés chauffés en étudiant la formation des parois de Bloch aux limites des grains en contact; le mouvement brownien de celles-ci permet de rendre compte de la baisse du champ coercitif qu'on observe lorsque la température à laquelle on fait les mesures s'élève
Keywords

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