Abstract
The intentions for, and the thinking behind, the Green Building Challenge (GBC) assessment framework and its development are made explicit. This paper disentangles three separate roles for environmental assessment of buildings (stimulating owners to improve a building's performance, informing decision makers during the design stages and delivering objective measurements of a building's impact on natural systems). The author provides a number of significant lessons from the development exercise and discusses further implications and directions for developing environmental assessment methods for buildings. A distinction is made between ‘green’ and ‘sustainable’ agendas and their implications for the future development of building environmental assessment methods. This is essential in order to clarify the many roles and applications demanded of these tools. The considerable practical overlap between the ‘green’ and ‘sustainable’ agendas suggests that they can be reconciled within a single tool. ‘Green’ performance is most usefully described in relative terms in comparison to similar buildings in the region, while absolute energy and mass flows are a prerequisite for assessing progress towards sustainability. A fewer number of carefully elected performance measures are required to provide a measure of a building's role in ecological sustainability than to describe its green performance. The GBC process has clarified the roles and applications demanded of different tools and these lessons will be integrated into the restructuring and application of GBTool, and add significantly to the wider debate on environmental assessment. Cet article explique les objectifs et les raisons qui ont amené à élaborer le cadre d'évaluation Green Building Challenge (GBC) ainsi que son évolution. Il précise le rôle de trois facteurs distincts qui participent à l'évaluation environnementale des bâtiments: inciter les propriétaires à améliorer les performances des bâtiments, informer les décideurs pendant la conception et fournir des mesures objectives de l'incidence d'un bâtiment sur les systèmes naturels. L'auteur tire un certain nombre d'enseignements significatifs de cet exercice et examine d'autres implications ainsi que des orientations relatives à l'élaboration d'autres methodes d'evaluation environnementale des bâtiments. Il fait la distinction entre les aspects ‘verts’ et les aspects ‘durables’ et examine leurs implications dans la perspective de l'elaboration de nouvelles méthodes. Cela est essentiel si l'on veut expliciter les nombreux rôles et applications demandés a ces outils. Cette distinction est capitale; le chavauchement considérable de ces aspects suggère que l'on pourrait les fusionner dans un seul outil. Les performances ‘vertes’ sont très bien décrites en termes relatifs, par comparaison à des bâtiments similaires de la région, alors que l'énergie absolue et les flux de masses sont une condition préalable à l'evaluation du progrès vers la durabilité. Un nombre moins important de mesures de performances sélectionnées avec soin servira à donner la mesure du rôle des bâtiments dans un contexte de durabilité écologique plutôt que de décrire leurs performances ‘vertes’. Le processus GBC a précisé les roles et les applications des différents outils et ces enseignements serent intégrés dans la restructuration du GBTool, de ses applications à une plus grande échelle et au débat élargi sur l'évaluation environnementale.

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